Les clichés distancés de Valérie Belin chroniquent notre époque à travers les apparences. Photos sur l’identité plutôt que photos d’identité, ses dernières séries permettent de radiographier sa pratique.
Valérie Belin dit : Depuis le début je me suis attachée à la surface des choses et même lorsqu’il s’agissait d’un visage je m’intéressais avant tout à sa surface. Ce qui se manifeste à la surface des choses est essentiel. Cette surface n’est pas montrée juste dans un but superficiel ou décoratif
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